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    Horaires des visites Garnier

    Ouverture tous les jours de 10h à 16h30 (de 10h à 17h30) sauf jours de représentations en après-midi et jours de fermeture exceptionnelle.

    Tarifs

    • Tarif plein hors période d’exposition : 11 €
    • Tarif plein avec exposition temporaire : 12 €
    • Tarif partenaires : 8€*
    • Tarif réduit hors période d’exposition : 7 €*
    • Tarif réduit avec exposition temporaire : 8 €*

    Entrée gratuite pour* :

    • Enfant de moins de 12 ans
    • Personne handicapée et son accompagnateur
    • Chômeur, bénéficiaire de l'aide sociale/RSA/autres minima sociaux
    • Détenteur du Pass' Jeunes
    • Détenteur de la Carte Adhérent AROP particulier
    • Détenteur de la Carte Culture (1 personne et son accompagnateur)
    • Détenteur de la Carte des professionnels du tourisme (ex : guides, conférenciers…) et des offices français du tourisme
    • Détenteur de la Carte de lecteur de la Bibliothèque Nationale de France (accès à la salle de lecture de la Bibliothèque – Musée de l’Opéra)
    • Élèves Ecole du Louvre et écoles d’architecture

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    Actuellement à l'Opéra

    Aucune exposition temporaire en cours

     La saison 19/20

     

     Est proposé dans cette saison à L'Opéra Garnier 22  opéras, ballets, récitals et concerts tels que La Traviata de Gusieppe Verdi , Don Giovanni de Mozart ou encore Lear de Reimann  par exemple.

     

     

    Pour plus de choix , voir le site des Opéras de Paris

     

    A Venir 

     Du 28 mai au 1er septembre 2019 au Palais Garnier :    L’Opéra de Paris de Louis XIV à la Révolution

     

     

    Organisée par la Bibliothèque nationale de France et l’Opéra national de Paris, cette exposition s’inscrit dans le cadre du 350e anniversaire de l’Opéra de Paris et retrace l’histoire, souvent tumultueuse, de la première scène lyrique française dans ses rapports avec la culture italienne...

     

     

     

     

     


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  • Accueil

    En 1860, un concours est lancé pour construire un nouvel opéra. Ce sont les plans de l'opéra Garnier, de l'architecte Charles Garnier, qui sont choisis pour cela. Il est inauguré en 1875. C'est la treizième salle d'opéra qui ouvre à Paris depuis la fondation de cette institution. C'est l'un des opéras les plus fameux du monde !


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  • Un repère pour Nazis... et Communistes

    Pendant l'Occupation en France pendant la seconde guerre mondiale, l'opéra Garnier devient un lieu stratégique pour les Nazis : il leur permet de côtoyer les élites françaises et d'afficher une sensibilité artistique. Néanmoins, l'opéra est aussi un foyer de la résistance, où des machinistes communistes organisent la distribution de tracts antinazis et l'évasion de prisonniers juifs.

     

    Le lac : légende ou réalité ? 

    À propos de l'existence d'un lac sous l'opéra Garnier, une légende a vu le jour dans laquelle il est parfois complexe de distinguer le vrai du faux. Le lac est évoqué par le personnage de Louis de Funès dans La Grande Vadrouille, au moment où il quitte l'opéra en barque, et par Gaston Leroux dans Le Fantôme de l'Opéra, où il parle d'un lac souterrain alimenté par la rivière de la Grande batelière. Ce qui est vrai, c'est qu'il y a bien sous la scène de l'opéra Garnier un petit bassin souterrain où l'on trouve des carpes; des pompiers hommes-grenouilles s'y entraînent. Il s'agit d'une cuve artificielle de 2 500 m², semblable à une cave voûtée, remplie d'eau. Absente des plans d'origine, elle a été créée par Garnier afin de résister à la pression des eaux d'infiltration : en effet, le sol du bâtiment s'était révélé marécageuxalors que les travaux venaient de commencer. Ce qui est faux, c'est qu'il y ait eu un vaste lac de caverne illuminé par des flambeaux, comme le décrivait Leroux. La rivière de la Grange-Batelière ne passe pas non plus par ce bassin, même si elle en est très proche .

     

     

    Une coïncidence ?

    Le 20 mai 1896, deux mille personnes assistaient à une représentation de « Faust ». Lorsque, à la prière de Faust, le contrepoids de l'énorme lustre se rompit, laissant choir sur les spectateurs vingt tonnes de bronze et de cristal. Par miracle, s'il y eut de nombreux blessés, on ne déplora que le décès d'une femme ...


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    L’opéra Garnier fut construit a la suite d’un concours ordonné par Napoléon III en 1860 pour remplacer l’opéra Le Peletier où avait lieu 2 ans plus tôt un attentat contre l’empereur. La nouvelle salle devait être situé dans une rue plus grande et moins favorable aux attentats.La compétition réunit 171 candidats et Charles Garnier gagna ce concours.

     

    Il travailla pendant près de 15 ans pour concrétiser son projet. Les travaux avancent à pas de tortue et connaissent plusieurs obstacles. D’abord, peu après le début des travaux, le terrain se révèle marécageux. La guerre franco-prussienne et la chute du second empire n’arrangent pas les choses : les financements s’arrêtent et interrompent de nouveau la construction. Les travaux s’arrêtent finalement en 1875 mais Garnier complétera son édifice durant le reste de sa vie.

     

    Charles Garnier déploie une architecture spectaculaire. . Il souhaite ériger un monument d'inspiration électrique, obéissant ainsi à la mode de son temps, les façades de son théâtre lyrique devant offrir un spectacle permanent au piéton de Paris. Son œuvre, qui deviendra l'un des exemples les plus célèbres du style propre à la période Napoléon III, révèle un tempérament aux penchants multiples et une attraction particulière pour l'art baroque. Si l'architecture de Garnier réunit plusieurs styles, c'est pourtant lbaroque, très en vogue dans les constructions théâtrales, qui prévaut.*

    Long de 173 mètres et large de 125 mètres, l’opéra Garnier s’inscrit dans l’esprit du style impérial de l’époque.

    paris  visite en soirée des mystères de l’opéra garnier

    Située exactement au-dessus de la voûte de l'ancienne rotonde des Abonnés, la grande salle de spectacle constitue le cœur même du palais.

     

    Épousant une forme en fer à cheval, avec ses 4 balcons, ses loges et ses stalles sur 5 niveaux, l'endroit est conçu suivant le modèle du théâtre à l'italienne où la visibilité est variable. Ses caractéristiques dimensionnelles sont impressionnantes : près de 31 mètres de largeur, 32 mètres de profondeur sur 20 mètres de hauteur. Sa jauge s'approche des 2000 places assises, avec un peu plus de 1900 fauteuils. Ce lieu est habillé dans des tons dominants de rouges et d'ors.

     

    De vastes dégagements permettent d'accéder aux cinq niveaux dont les sols sont revêtus de mosaïque. Toutes les portes sont en acajou et dotées d'un hublot.

     

    La hauteur du lustre, 8 mètres, est celle d’une maison de deux étages. En bronze doré et en cristal, il a été installé et réglé en 1874 avec 340 becs fonctionnant au gaz d'éclairage. Partiellement électrifié dès 1881, il porte sur huit couronnes 320 ampoules électriques. Un feston de pendeloques l’entoure, relevé de place en place par des motifs en forme de lyre. Le dessin est de Charles Garnier et la fonte a été réalisée dans les ateliers de Lacarrière et Delatour. Il a été restauré en 1989.

     

    Le plafond de l'Opéra Garnier a été totalement rénové et réinventé en 1964 sous l'impulsion du ministre de la Culture André Malraux. La réalisation des fresques sur une superficie de 220 m² a été confiée au talentueux Marc Chagall. Il aura fallu un an à Chagall pour mener à bien la réalisation de cette œuvre grandiose, qui peut être présentée comme un véritable condensé de la personnalité de l'artiste. Le plafond de l'Opéra Garnier se caractérise par ses couleurs lumineuses et sa multitude de détails.

     

    Le grand escalier, haut de 30 mètres, est un modèle à double révolution5, en marbre blanc, avec rampes polychromes. Le premier palier conduit au parterre de la grande salle, mais des escaliers latéraux amènent aux étages supérieurs et au foyer. Depuis les balcons de l'étage du même hall, les spectateurs déjà arrivés pouvaient observer les nouveaux venus montant les marches et s'afficher : c'était un lieu social très important.

     

    Le « grand foyer », inspiré de la galerie des Glaces, est une longue galerie lumineuse où abondent sculptures, dorures, peintures, lustres, miroirs et larges fenêtres donnant sur la rue. Pendant l'entracte, les spectateurs pouvaient s'y promener, se rencontrer et échanger.

     


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    Magnifique escalier

         

     

     

    •          Inauguration: 

    Il a été inauguré en 1875.

             

                Son père fondateur :

    Sa construction fut décidée par Napoléon III dans le cadre des grands travaux de rénovation de la capitale menés par le Baron Haussmann. Charles Garnier et lui s'entendait très mal

     

               Son architecte :

    Conçu par Charles Garnier en 1875, le Palais Garnier abrite une salle de spectacle prestigieuse à l’italienne et des espaces publics (grand foyer, rotonde des abonnés, salons), une bibliothèque-musée ainsi que plusieurs studios de répétition et des ateliers.

     

                Son rayonnement :

    Il présente des spectacles lyriques et    chorégraphiques. Avec près de 480 000 visiteurs par an, c’est un des monuments les plus visités de Paris. Il est classé monument historique historique depuis 1923.

     

                                                                                                                                                                             Son style :

    Aujourd’hui, le Palais Garnier est sans aucun doute l’architecture la plus représentative de l’art du Second Empire, symbole du luxe et des plaisirs de la capitale. 73 sculpteurs et 14 peintres y travaillèrent sous la direction de l’architecte.

     

          Son histoire :

    Les travaux furent longs, stoppés pendant la guerre de 1870, et l’inauguration eut lieu le 5 janvier 1875 en présence du Président de la République, Mac Mahon. Le 23 septembre 1964, le plafond de Chagallest inauguré. Il a été commandé par André Malraux, ministre de la culture.


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